Arica, petit port chilien près du Pérou et de la Bolivie.
Nous retrouvons l’océan, mais depuis notre rencontre avec les Surfriders à Biarritz, nous n’allons plus à la plage de la même manière. On ne peut s’empêcher, les yeux rivés sur le sable, d’observer ce que la marée rejette.
Comme à Bilbao, nous retrouvons sur cette plage du pacifique, de nombreux déchets plastiques, et notamment des larmes de sirènes (petits granulés utilisés dans l’industrie de la plasturgie).
Notre œil de gardien de la côte débutant s’arrête sur des petits objets ressemblant fortement aux médiafiltrants. Cette fois-ci, ce sont des petites marguerites de couleur que l’on trouve en très grande quantité.
Avis aux lecteurs et gardiens de la côte confirmés, est-ce que ces marguerites vous rappellent quelque chose ? Ici, l’hypothèse de petits bouchons de produits détergents nous a été donnée.
Affaire à suivre !