Il y a un peu plus de huit ans, Kevin et Susie se lançaient dans un projet de ferme biologique en Nouvelle-Zélande. Intéressés par une vie plus proche de la nature, et par des concepts comme l’autosuffisance, le pic pétrolier, ou la permaculture, ils nous expliquent leur philosophie, leur expérience, mais aussi les difficultés d’un tel choix…
29 janvier 2012
En transition…
27 janvier 2012
L’appétit pour l’argent est inversement proportionnel à l’empathie pour les gens…
Un petit brouillon d’humeur en forme de citations…
Des expérimentations récentes sur des rats ont montré que le sucre possède un pouvoir addictif supérieur à la cocaïne. Le chercheur réalisant ces études définit l’addiction comme une perte de la capacité de contrôle d’un comportement de consommation. Un aparté chez l’humain dans l’émission de radio nous laisse entendre que l’addiction qui agite notre société serait celle de l’argent et du profit… Ah bon ?
En cette période où la soupe des promesses électorales est au menu, où les coups d’états financiers rythment la vie européenne, où Warren Buffet déclare « Si la lutte des classes existe, alors c’est ma classe, celle des riches, qui est en train de la gagner »…
On serait tenté de croire que le monde est à l’aube d’un changement historique. Pas si sûr disent certains… La course aux inégalités n’est pas terminée, et les sociétés occidentales pourraient très bien rejoindre le modèle indien, où ultra-riches et ultra-pauvres se côtoient sans se voir.
En toile de fond, un rééquilibrage des puissances économiques s’opère douloureusement entre pays développés (surdéveloppés ?), et pays en développement. Ces derniers veulent évidemment leur part du gâteau : pourquoi seuls les autres consommeraient de 5 à 12 planètes virtuelles ??
Pour le petit cas de la France, Bénabar ironisait lors d’un concert : « il y a deux catégories de personnes… ceux qui ont des problèmes d’argent… et ceux qui ont des problèmes d’impôts ! »
Ce qui n »est pas sans rappeler un célèbre western de Sergio Leone :
« Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses… »
Comme nos politiques aiment citer Jean Jaurès, en voici une petite pour finir :
« Il ne peut y avoir de révolution que là où il y a conscience »